Un sexmodel est un mannequin qui évolue dans l’industrie du fétichisme. Ils peuvent apparaître sur des photographies fétichistes ou des photos glamour exotiques et également faire des apparitions lors d’événements tels que des salons et des fêtes BDSM. Les modèles fétichistes portent également des vêtements fétichistes, qui sont une forme de vêtement conçu pour susciter le désir sexuel ou pour satisfaire un fétiche spécifique. Ils peuvent également participer à divers rituels fétichistes tels que le bondage, le shibari, le nyotaimori, la modification corporelle ou l’art fétichiste comme les tatouages.

Les travailleuses du sexe peuvent travailler pour une variété de clients, notamment des sociétés pornographiques, des clients privés, des producteurs de divertissement pour adultes et d’autres fétichistes. Certains modèles fétichistes gèrent également leurs propres sites payants pour adultes ou des Sexmodel agences de mannequins fétichistes. Dans certains cas, ils collaborent avec des créateurs de mode fétichistes pour créer leur propre ligne de vêtements fétichistes.

Dans cet article, nous étudions les hypothèses spécifiques au sexe et l’engagement dans la définition des sexes dans les modèles mathématiques de la théorie de la sélection sexuelle, à l’aide de deux recherches générales : l’une couvrant tous les modèles publiés, l’autre limitant la recherche à ceux publiés au cours des dix dernières années. Parmi les modèles mathématiques causals étudiés, la plupart partent d’hypothèses asymétriques spécifiques au sexe, et la majorité ne présentent pas de définition des sexes (voir encadré 1).

Nous discutons des implications de cette découverte pour la théorie de la sélection sexuelle. Nous suggérons qu’un problème majeur de la théorie actuelle est sa circularité, dans laquelle les différences supposées entre les sexes sont utilisées pour prédire l’évolution spécifique au sexe. De plus, nous proposons qu’une meilleure approche de l’étude de l’évolution spécifique au sexe consiste à incorporer des modèles symétriques et asymétriques dans le cadre mathématique. Idéalement, ces modèles devraient être conçus pour offrir la meilleure adéquation entre les prévisions et les données expérimentales. Cela devrait nous permettre de tester si la logique de la théorie de la sélection sexuelle est effectivement circulaire, et si oui, comment la corriger.